Le coaching repose sur une relation authentique et sincère. Ce n'est pas uniquement de l'écoute, pas uniquement de l'accueil, c'est aussi une confrontation au réel.
Être bienveillant, c'est la base quand on est accompagnant.
La bienveillance est un devenu un concept à la mode et ce mot a été galvaudé jusqu'à ce qu'il soit confondu avec acception et laisser-faire. Or, la bienveillance refuse le laisser-aller et s'engage dans le soutien, avec écoute et respect, aux côtés de l'autre.
J'ai coutume de dire qu'il faut beaucoup de bienveillance pour confronter, pour oser montrer en miroir un comportement inadapté. La relation coach-coaché doit viser à une recherche de vérité même si celle-ci est parfois dure à entendre.
Le coaching vise à trouver un niveau d'énergie compatible avec les possibles et les envies. Cela demande un travail global qui équilibre la tête, le corps et le cœur. Il s'agit de guérir le cœur, de libérer le mental pour que l'esprit se reflète dans le corps.
Enfin, le coaching travaille sur l’unicité de la personne et recherche à faire du coaché : un être en voie d'accomplissement, fidèle à lui-même et en construction vers son devenir propre. Bien accompagné, le coaché doit ressentir, assez rapidement, les changements, les nouvelles questions qui s'ensuivent puis s'apaisent pour construire sa vie en résonance avec son profond.